Le jardin du Lagerkommandant, premier roman de l’écrivain canadien Anton Stoltz, suit un SS affecté à la comptabilité du camp d'Auschwitz.
Alain Joubert
Quand Sade sort de l’ombre
Le nom de Maurice Heine est lié à celui du marquis de Sade dont il fut le premier éditeur scientifique. Un monde mouvant et sans limites rappelle qu'il fut également un poète, un érudit et un révolutionnaire.
Le centenaire de Gabrielle Wittkop
Gabrielle Wittkop aurait fêté ses cent ans cette année. Alain Joubert nous parle de son héritage à travers deux de ses œuvres, l'une qui apparaît, l'autre qui reparaît.
Gloubi-boulga
Les élucubrations du chef de file des lettristes contre celui des surréalistes mettent Alain Joubert en rogne. Mais au fait, qui était Isidore Isou ?
Un Dada du XIIIe siècle
Dans son fabliau Trubert, le trouvère révolté Douin de Lavesne se révèle un artiste surréaliste et dadaïste avant l’heure.
La poésie surréaliste en ses somptueux écarts
Deux surréalistes singuliers éclairent la diversité d’une « famille spirituelle » : Jehan Mayoux et Yves Elléouët.
Le secret des images
Annie Le Brun et Donatien Grau regardent les images avec des mots : dix-huit textes de la première sont réunis dans Un espace inobjectif, tandis que le second relit leur histoire à l'aune de leurs titres.
L’amitié, ses trahisons, ses bonheurs
Deux correspondances d’André Breton paraissent en même temps : l’une raconte l'amitié brisée avec Paul Éluard, l’autre éclaire ses liens avec Simone Debout et sa redécouverte de Charles Fourier.
Le chercheur de sommeil
Jean-Luc Bitton retrace en détail la vie de Jacques Rigaut, le plus provocateur des dadaïstes, suicidé à trente ans après une existence fulgurante.
Le surréalisme est ce qui sera
Jean-Pierre Plisson fait l'histoire du mouvement surréaliste en suivant la trajectoire d'une de ses figures majeures, André Breton.
L’humour amer
Le dixième roman de Luis Landero raconte la vie « négociable » d'Hugo Bayo, jeune rêveur persuadé qu'un avenir extraordinaire l'attend.
Chevillard, yop la boum
Après le succès des Gondoliers, le personnage de Prosper Brouillon a décidé d’écrire un roman policier. Éric Chevillard construit une trame tout en la déconstruisant.