Avec La mélancolie de celui qui vise juste, Lewis Nordan nous fait vivre les tumultes d’une petite ville du delta du Mississippi.
Liliane Kerjan
Au Nebraska
Dans Chant des plaines, le romancier américain Wright Morris (1910-1998) décrit la disparition d’un monde. Le sien.
Sur la route immaculée
Avec La parade, l’écrivain américain Dave Eggers propose un roman de chantier, un pamphlet d’une totale actualité.
De Tulsa à l’Upper West Side
Sur trois générations, De feu et d’or de Jacqueline Woodson livre l’histoire d’une famille noire des États-Unis.
Une vie en friche
Zoomania, le deuxième roman d’Abby Geni, joue les lanceurs d’alerte mais manque sa cible.
Le cowboy qui écoutait du métal
Le cinquième roman de l’Américain Willy Vlautin traite avec tendresse vainqueurs et vaincus, villes et montagnes, ambition et désespoir.
L’écrivain vampire
Katya Apekina passe au roman avec De la vie des poissons en eaux profondes : elle y aborde les tensions de la vie familiale et l’ombre de la maladie mentale.
Une « servante écarlate » amérindienne
Le dernier roman de Louise Erdrich est une dystopie inquiète et inquiétante : privé des grands froids des hivers, un monde totalitaire et religieux boucle les États-Unis, contrôle les femmes et leur descendance à venir.
Un monde violent à plein temps
Dans sa charge contre le consumérisme, la violence et l’injustice raciste, Nana Kwame Adjei-Brenyah fait flamber l’hyperbole sans renoncer à l’empathie.
L’autre versant de Pearl Harbor
No no boy, publié en 1957 par John Okada est un roman clé de la première génération des écrivains asiatiques-américains.
Voter l’après-Trump
Didier Combeau analyse la situation des États-Unis à la veille d’un moment décisif de leur et de notre histoire.
Ombres contre l’oubli
Avec Nickel Boys, Colson Whitehead fait revivre le quotidien d’une école de redressement dans la Floride raciste des années 1960.