Frédéric Regard consacre une biographie courte et enlevée à Josephine Butler, défenseuse intrépide des prostituées de Londres dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Marc Porée
À bout de souffle
Des trois textes réunis dans Invisibles visiteurs, c’est L’homme sans souffle d’Edgar Allan Poe qui, en ces temps de crise sanitaire, retient plus particulièrement l’attention.
L’autre Eliot
L'œuvre nourrie d’équité de George Eliot, née Mary Ann Evans, fait son entrée, en français, dans la Bibliothèque de la Pléiade.
Eric Blair, alias George Orwell
Les romans de George Orwell font leur entrée dans la Pléiade : on y retrouve un écrivain à hauteur d’homme, avec ses forces et ses faiblesses.
Profession : oisif(s)
En 1857, deux écrivains reporters, le drogué Wilkie Collins et le workaholic Charles Dickens signent ensemble Les pérégrinations paresseuses de deux apprentis oisifs, traduit aujourd’hui en français, tout aussi collectivement.
Aurora Leigh, la poète qui dit non
De son vivant, Elizabeth Browning régnait en majesté sur les lettres britanniques. Aujourd’hui, avec la première traduction intégrale de son long poème Aurora Leigh, elle sort de l'oubli.
Confinée en jaune
Parue en 1892, The Yellow Wallpaper, longue nouvelle de Charlotte Perkins Gilman, est un classique de la littérature féministe.
À la trappe, l’épidémie !
Du roman au théâtre en passant par l’épopée, le poème philosophique, la fable ou le conte, la peste s’infiltre dans tous les genres littéraires. Edgar Allan Poe aura mis pour sa part la maladie en nouvelle avec « Le roi peste ».
L’enfance de l’art dickensien
On retrouve dans Les papiers posthumes du Pickwick Club la verve comique de Charles Dickens, loin de l'image misérabiliste que la France lui a assigné.
De l’importance d’être sans importance
Le Journal d’un homme sans importance, signé des frères George et Weedon Grossmith, est un classique de l’humour anglais. Il vient d'être traduit en français.
Poe, de près
En retraduisant l’ensemble de ses nouvelles au plus près de la lettre, Christian Garcin et Thierry Gillybœuf donnent à lire un Edgar Allan Poe dépouillé de ses oripeaux gothiques,
Byron, vite
La traduction par Jean Pavans du Corsaire rend son propos encore plus clair : exorciser l'angoisse que Byron éprouva à la vue de la décadence d’Athènes et de Venise.