Marie Étienne

Trois livres réunis

Une nouvelle chronique pour mettre en avant la poésie vivante : au programme de ce premier épisode, Jean Chavot, Françoise Louise Demorgny et Andreas Unterweger.

La perte et le bienfait

Marie Étienne évoque Comment j’ai vidé la maison de mes parents de Lydia Flem qui fait partie de ces « livres qu’on garde en soi sans les avoir ouverts ».

Une fausse dilettante

Quatre saisons en enfance est un drôle de livre par une drôle d’autrice, Catherine de la Clergerie. Ou faut-il dire auteur, au masculin, puisque la narratrice se voit tantôt en fille et tantôt en garçon ?

Un atelier à ciel ouvert

L’originalité des 103 dessins à la mine de plomb que Michel Mousseau expose actuellement dans le Morbihan mérite le détour géographique et le commentaire.

L’élégance du secret

Marie-Claire Bancquart est décédée le 19 février dernier. Dans l’œuvre qu’elle nous laisse, elle croit à la puissance des mots plutôt qu’à un dieu sourd qui permet le malheur. Sans nier tout à fait qu’il existe.

La fiction du fils

« Tu n’es pas un père, tu n’es qu’un récit », dit à Erri de Luca le fils qu’il s’est inventé dans Le tour de l'oie pour se donner le moyen de se parler à soi-même, de s’apporter la contradiction.

Obscurité de la lumière

Semple est d’une laideur et d’une saleté repoussante. Harold Hunter est grand, beau, arrogant. Ces deux adversaires se côtoient, se rencontrent ou se fuient dans Clair-obscur, de Don Carpenter.