Spontanément, Marielle Macé a répondu à notre proposition ensoleillée par une traversée de l’œuvre d’Etel Adnan qui se déploie comme un diptyque : la peinture d’un côté, illuminée par un soleil de joie ; la poésie de l’autre, éclairée par un soleil catastrophé. Une météo à la fois plastique et spirituelle.