Au Théâtre national de la Colline, Alexandra Badea met en scène le deuxième volet de son triptyque, Points de non-retour.
Monique Le Roux
L’hiver des rapports humains
Alain Françon met en scène Molière pour la première fois de sa longue carrière. Son Misanthrope fait résonner l'entre-soi de la société de cour avec notre époque.
Bertolt Brecht : un classique à la Comédie-Française
Éric Ruf réalise une somptueuse et spectaculaire mise en scène de La vie de Galilée, de Bertolt Brecht.
La voix de l’émancipation
Britannicus à l’Artistic Théâtre, Le champ des possibles à la Reine Blanche : ces deux spectacles portent d’une seule voix, à travers divers personnages, le récit d’une émancipation.
Strindberg, notre contemporain
Julie Brochen met magnifiquement en scène Mademoiselle Julie d’August Strindberg au Théâtre de l’Atelier, avec Anna Mouglalis et Xavier Legrand.
De boue et de sang
Sous le titre Électre/Oreste, le grand metteur en scène européen Ivo van Hove fait entrer deux pièces d’Euripide au répertoire de la Comédie-Française.
Revoir Ça ira (1) Fin de Louis
Les spectateurs qui ont déjà vu Ça ira (1) Fin de Louis peuvent retrouver le spectacle de Joël Pommerat dans un contexte nouveau.
Lent retour
Le pays lointain de Jean-Luc Lagarce est mis en scène pour la première fois dans sa version intégrale, vingt-deux ans après la mort de son auteur, par Clément Hervieu-Léger.
La première pièce du jeune Sheridan
À l’Artistic Théâtre, la première pièce de Richard Brinsley Sheridan, Les rivaux, est mis en scène par Anne-Marie Lazarini avec un véritable esprit de troupe.
N’écrire que pour des acteurs
Trente ans après sa mort, Thomas Bernhard était à l’affiche de deux théâtres parisiens, le Poche Montparnasse (Déjeuner chez Wittgenstein) et le Déjazet (Le faiseur de théâtre).
Samuel Beckett par Sami Frey
Jusqu'au 3 mars, au Théâtre de l’Atelier, Sami Frey fait entendre Premier amour, un des premiers textes écrits en français par Samuel Beckett.
Comment faire un théâtre engagé ?
Thomas Ostermeier déçoit en adaptant le Retour à Reims de Didier Eribon. Il renonce à son grand art de la mise en scène au profit d’un spectacle hybride interrogeant l’engagement.