Quatrième semaine de confinement pour Décamérez !. Où la lectrice et le lecteur découvrent ensemble qu'il existe un tempo pour tout.
Nathalie Koble
Décamérez ! Zelda : au hasard Balthazar (j27)
Décamérez ! boucle en ce dimanche de Pâques la quatrième semaine de confinement, à travers une histoire qui exalte la passion de la patience : celle de Zelda.
Décamérez ! Le Purgatoire (j26)
Alors que la quatrième semaine de confinement n'est pas loin de s'achever, voici des leçons de ténèbres dans Décamérez !, vingt-sixième du nom.
Décamérez ! La feuille de sauge (j25)
Une nouvelle histoire de jardin dans le vingt-cinquième épisode de Décamérez ! : les amants feraient bien de se méfier de la sauge.
Décamérez ! Cœur mangé : triangle (j24)
Le vingt-quatrième jour de confinement est sanglant dans Décamérez !, puisque voici l'épisode du cœur mangé (pour cause de triangle amoureux).
Décamérez ! Le noir (j23)
Avec les jours de confinement qui passent (déjà le vingt-troisième !), le sommeil peut devenir difficile. Voici une « histoire de rêves » dans Décamérez ! (« sortir de sa chambre en restant confiné »).
Décamérez ! Isabel et le basilic (j22)
Déjà la quatrième semaine de confinement qui commence : Décamérez ! fête ça avec la fable d'Isabelle et du basilic, « une histoire de mafia sicilienne ».
Décamérez ! Le cœur sanglant (j21)
La troisième semaine de confinement se termine avec une histoire célèbre et atroce dans Décamérez !, celle du cœur sanglant.
Décamérez ! La pucelle du Roussillon (j20)
Décamérez ! touche à son vingtième jour de confinement. Voici sa vingtième histoire, celle de Gilette, la pucelle du Roussillon.
Décamérez ! L’antimoine (j19)
Dix-neuvième jour de confinement pour Décamérez !, qui part à la recherche, avec l'histoire de Tébalde, d'une faille temporelle.
Décamérez ! La muette au jardin (j18)
Le confinement entre dans sa dix-huitième journée. Dans Décamérez !, place à l'histoire de Richard et François, intitulée « Une muette au jardin ».
Décamérez ! Le jardinier muet (j17)
Le dix-septième épisode de Décamérez ! récompense, comme Dieu, « ceux qui bêchent » : ici, un jardinier muet qui a plusieurs jardins à cultiver.