Les éditions de l’Atelier de l’agneau publient le dernier tome des œuvres complètes du poète russe Guennadi Aïgui (1934-2006).
Odile Hunoult
Le monde en Mandelstam
En 1930, au pire moment du scandale orchestré autour de lui par une accusation de plagiat, Ossip Mandelstam décroche un voyage en Arménie. Son texte de notes et de souvenirs est aujourd’hui « tiré à part ».
Les poètes russes d’aujourd’hui
L'anthologie dirigée par Tatiana Victoroff rappelle que la poésie russe contemporaine conserve l'équilibre entre âme et esprit, émotion et réflexion.
Les sentiers de la création
En novembre 1945, sa rencontre avec Isaiah Berlin inspire à Anna Akhmatova quatre cycles de poèmes, regroupés dans L’hôte venu du futur.
Rater le bateau pour Hydra
« Plus on me pressait de raconter mes voyages, plus je m'y refusais ». Avec Un homme de plus, Dominique Grandmont, poète et traducteur du grec, semble s’être plié à l’injonction.
La Belle et le Parti
Matérialisme et zones érogènes explique pourquoi et comment Patricia Galvão, jeune fille de la petite bourgeoisie de Saõ Paulo et icône de l'avant-garde littéraire brésilienne, devint militante communiste.
Laissez-passer pour l’immortalité
En partie traduite jusqu’alors, la gigantesque correspondance d’Emily Dickinson est pour la première fois éditée en entier en français.
Tsvetaeva, la vie même
Après la parution de deux volumes rassemblés sous le titre de Poésie lyrique, on peut désormais découvrir les Grands poèmes de Marina Tsvetaeva.
Ulysse est de retour
L’œuvre de Mandelstam projette dans l'espace et le temps des architectures arachnéennes où tout se répond, se correspond, et apparaît toujours inattendu.
Walter, et l’innommable
Publié un an avant sa disparition, en 1979, Holocauste de Charles Reznikoff s’est imposé comme un texte poétique majeur. C’est une bonne raison de le republier dans une traduction d’André Markowicz.
Le crépitement-roulement de Tsvetaeva
Marina Tsvetaeva écrit en 1925 Le charmeur de rats, un long poème construit comme un opéra, qui est une allégorie de la vie des Soviétiques.
Georges Perros à la recherche d’Henri Thomas
La correspondance entre Georges Perros et Henri Thomas, mélange de légèreté, de distance, de tragique, de pudeur, de sensitivité, est un régal littéraire.