La publication du séminaire de Jacques Derrida sur l’hospitalité continue, avec une deuxième année (1996-1997) au cours de laquelle le philosophe poursuit une explication avec Emmanuel Levinas et s’intéresse à un concept développé par l’islamologue Louis Massignon : la substitution.
En s’inspirant d’Ibn Khaldûn, Gabriel Martinez-Gros propose une réflexion sur la façon dont les religions succèdent aux empires lorsqu’ils deviennent « impuissants ».
La vérité nue, texte posthume de Hans Blumenberg, s’inscrit dans un des projets philosophiques les plus marquants du XXe siècle.
Dans son nouveau livre, Olivier Boulnois retourne à la source de l’expérience chrétienne en se plongeant dans les lettres de l’apôtre.
Le philosophe Ivan Segré cherche à mettre en avant le potentiel révolutionnaire de l’héritage biblique dans La souveraineté adamique.
Cosmopolitiques d'Isabelle Stengers constitue le point d’aboutissement d’une pensée qui continue d’interroger ce que font les pratiques scientifiques.
« Penser, c’est dire non : commentez ce propos d’Alain ». Voilà sans doute le sujet de dissertation proposé par Jacques Derrida vers 1960, auquel répond le corrigé publié aujourd’hui. On continue d’y découvrir le philosophe en pédagogue, sa méthode exemplaire.
La philosophe Camille Dejardin consacre à John Stuart Mill un essai qui invite à se plonger dans les textes, tous traduits en français, de ce « libéral utopique ».
Olivier Boulnois analyse la manière dont le problème de la liberté s’est posé en retraçant l’histoire de ce concept, d'Aristote aux Modernes.
Avec Les trente inglorieuses, Jacques Rancière rassemble interventions, tribunes et communications sur différentes « scènes politiques »,
Le philosophe Jean-Louis Vieillard-Baron consacre un ouvrage au spiritualisme, courant majeur de la pensée du XIXe siècle.
Entre 1995 et 1997, Jacques Derrida consacre son séminaire à l’hospitalité : en voici la première année, qui cartographie ce concept, et ce qu’il oblige à repenser.
