Santiago Artozqui

Les traductions passent, le racisme reste

La nouvelle traduction d'Autant en emporte le vent prétend corriger celle publiée en 1938. Mais le texte de Margaret Mitchell dit à peu près la même chose : que les Noirs américains vivaient heureux au temps des plantations.

Les mots creux

Les éditions Zones sensibles mettent en ligne une partie de leur catalogue. L’occasion de découvrir un opuscule au titre évocateur, De la réception et détection du baratin pseudo-profond.

Faire des liens

Le poète et traducteur Martin Rueff signe avec La jonction un texte érudit et drôle, dont le lecteur est amené à circuler dans les langues et les textes.

Pour l’amour du rock

Platines, de Julien Decoin, promène entre ses pages des personnages déjantés et attachants, servis par une écriture qui se démarque dans un genre où peu d’auteurs s’illustrent : le roman rock.

En quête de Stevenson

Parfois, le mystère d’un texte est si bien caché qu’on ne soupçonne même pas sa présence. C’est ce qui est arrivé à Santiago Artozqui avec la traduction d’un court roman de Stevenson.

Janesville en crise

Le récit de la journaliste Amy Goldstein raconte avec humanité le quotidien de familles d’ouvriers à Janesville, pendant la crise économique de 2008.