Huit écrivains et Jack London
Alors que paraissent deux volumes de La Pléiade consacrés à Jack London, EaN a demandé à Fabien Clouette et Quentin Leclerc, Marie Desplechin, Linda Lê, Maurice Mourier, Catherine Poulain, Jean Rolin et Éric Vuillard d’évoquer la place que cet écrivain occupe dans leur mémoire.
Nemrut Dag
Arrow, loup solitaire
En 2005, Fabien Clouette et Quentin Leclerc rencontrent à Los Angeles Jimmy Arrow. Dans les années 80, ce dernier avait réalisé des films pornographiques inspirés par l’œuvre de Jack London. Ils racontent cette soirée étrange…
Lire London à deux
Marie Desplechin a été marquée à l’adolescence par la lecture de Martin Eden. Elle confie, plutôt que cette expérience strictement personnelle, comment les livres de cet écrivain passent de lecteur en lecteur, jusqu’à son plus jeune fils.
Le pain et la gloire
Pour Éric Vuillard, deux courts textes éclairent la conception qu’eut Jack London de son « métier » d’écrivain. L’un où il s’agit de « construire un feu ». L’autre où il faut « se faire imprimer ».
Jack London dans les bas-fonds
Jack London n’est pas que l’auteur de romans d’aventure. Linda Lê préfère l’œuvre de l’écrivain-reporter du Peuple de l’abîme, un livre qu’elle conçoit comme une « nef fraternelle accueillant à son bord des éclopés de l’existence ».