Mario Vargas Llosa : la joie de la fiction
Mario Vargas Llosa, né en 1936, est mort le 13 avril 2025 à Lima. De La tante Julia et le scribouillard à Conversation à la Cathédrale, de Lituma dans les Andes à La Guerre de la fin du monde, en passant par La fête au bouc, Le rêve du celte ou Temps sauvages, son œuvre a toujours su se renouveler et réinventer des formes jouissives de fiction. Avant de lui rendre hommage, EaN vous propose de relire les articles que nous lui avons consacrés depuis presque dix ans.

La littérature est feu
Le grand écrivain latino-américain Mario Vargas Llosa entre de son vivant dans la prestigieuse collection de la Pléiade. Le public pourra ainsi découvrir ou redécouvrir dans toute son amplitude, sa maîtrise et sa fougue l’art littéraire de cet auteur au style luxuriant, pour qui précisément « la littérature est feu ».
par Alain Roussel
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Vargas Llosa : retour à Lima
À quelle Lima revient donc Vargas Llosa ? Celle des quartiers patriciens et des bas-fonds, celle qui nourrit son œuvre depuis toujours. Superbe porte d’entrée dans un univers d’un inventivité magistrale, le roman nous fait repenser la place de la ville dans ses fictions.
par Stéphane Michaud
| Littérature étrangère

Redécouvrir Benito Pérez Galdós
Trois publications récentes remettent au goût du jour Benito Pérez Galdós : Trafalgar, qui inaugura le cycle romanesque des « Épisodes nationaux », Les romans de l’interdit, et un essai de Mario Vargas Llosa.
par Albert Bensoussan
| Littérature étrangère

Penser en romancier
On peut découvrir les leçons de littérature de Mario Vargas Llosa, et son atelier d’écrivain, en lisant les textes issus d’un séminaire de Princeton animé par Rubén Gallo.
par Stéphane Michaud
| Littérature étrangère

Vargas Llosa, politique ou littérature ?
Dans un volume d’essais et en conversant avec Claudio Magris, Mario Vargas Llosa défend une pensée libérale qui tranche avec ses engagements passés et pense les conflits qui assaillent le créateur.
par Stéphane Michaud
| Essais

Dans le sillage de La fête au bouc
Avec Temps sauvages, roman qui fait écho à La fête au bouc, Mario Vargas Llosa démontre qu’il a de la suite dans les idées, qu’il n’en a pas fini avec le roman et l’histoire politique. Et surtout qu’il invente encore des formes de récit puissantes.
par Norbert Czarny
| Littérature étrangère