Heiner Müller aujourd’hui
À l’occasion de la sortie en français des conversations du dramaturge est-allemand Heiner Müller, menées entre les années 1975 et 1995 avec des collègues, des amis, universitaires, philosophes et hommes de théâtres, En attendant Nadeau s’est posé la questions de l’actualité de ces textes dans l’Europe d’aujourd’hui. Nous publions en exclusivité un texte inédit en français d’Alexander Kluge sur Müller ; et nous avons interrogé l’un des traducteurs de ses pièces et de ses entretiens, Jean-Pierre Morel.
La ville sans paroles
La ville de Frans Masereel est un « roman sans paroles » qui décrit l’univers urbain de 1925, en une suite de 100 bois gravés. Une œuvre importante, ayant inspiré nombre de romans graphiques contemporains, aujourd’hui rééditée par les éditions Martin de Halleux.
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par Sébastien Omont
Le sionisme, un passé simple
Livre aussi court qu’ambitieux, Le sionisme fut un humanisme d’Uri Eisenzweig cherche à réévaluer les discours fondateurs du sionisme comme courant politique et intellectuel.
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par Pierre Tenne
Entretien avec Edwy Plenel
Le co-fondateur de Mediapart entend « mener la bataille de l’égalité auprès des Gilets jaunes ». Edwy Plenel revient avec En attendant Nadeau sur six mois de contestation sociale et politique, la place du journalisme et son propre itinéraire intellectuel.
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propos recueillis par Ulysse Baratin et Pierre Benetti
Connaissance du Proche-Orient
La remarquable synthèse historique livrée par Nadine Picaudou interroge les formes et les figures du politique de la Turquie à l’Iran, de l’Égypte à l’Arabie saoudite.
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par Sonia
Dayan-Herzbrun
Le soulèvement n’est pas un geste
Désirer désobéir, recueil d’articles de Georges Didi-Huberman, flotte loin au-dessus des répressions et des soulèvements politiques qu’il souhaite explorer.
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par Zoé Carle
« Le cas typique de l’Américain maladroit »
Les tribulations d’Arthur Mineur d’Andrew Sean Greer ravive un genre moribond. Entretien avec le lauréat du Prix Pulitzer 2018.
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propos recueillis par Steven Sampson
L’homme qui aimait les films
Les textes de François Truffaut sont comme écrits sous le regard d’André Bazin, rencontré en 1948 et mort le premier jour du tournage des Quatre cents coups. Le dialogue est incessant, explicite ou implicite : Truffaut lisait Bazin qui lisait Truffaut.
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par Jean-Pierre Salgas